.Eitoku - Hana Yori Dango. Bienvenue à Eitoku, l'école des chérubins dorés de l'élite de la société. Ici, c'est le D4 qui domine tout. Vous plierez-vous à leurs exigences, ou tenterez-vous de braver leur autorité...? |
| | Hanabi Dosanko - Fleur Violente [UC] | |
| | Auteur | Message |
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Hanabi Dosanko .Truc Nouveau.
Messages : 10 Date d'inscription : 01/02/2008
And You Are...? Popularité auprès du D4.: (45/100) Amis & Ennemis.: Niveau de Richesse.: Riche.
| Sujet: Hanabi Dosanko - Fleur Violente [UC] Sam 2 Fév - 1:43 | |
| .Identity. Nom & Prénom : Dosanko, Hanabi Ren Kazu Surnom : Hana, mais il n'y a que Aozora qui peut l'appeler comme ça. Âge : Dix-sept ans. Nationalité : Japonaise Origines : Japonaises. Rang : Hanabi's Effect Groupe : La Rébellion. Amis : Son jumeau adoré, admiré, chéri, le seul et l'unique Aozora. Ennemis : Le D4, et surtout Shun. Raisons personnelles. Famille : La Famille Dosanko est connue pour son appartenance à la très restreinte aristocratie japonaise. Mais le couple s'est mis à travailler ... D'ailleurs, vous connaissez sûrement la marque Dosanko. Du moins, si vous êtes assez riches pour porter une chemise griffée Dosanko. Et oui, les Dosanko sont les premiers Japonais à s'être imposés dans la haute couture mondiale et ils sont connus pour leur efficacité, leur sobriété et leur classe partout dans le monde. Explorons un peu plus la famille. Dosanko Misao : Qurante-sept ans, il dirige son entreprise avec magnanisme et justesse. C'est un excellent chef d'entreprise qui sait se faire aimer de ses employés. C'est un homme droit à la conduite exemplaire, mais la perte de sa fille chérie l'a rendue beaucoup plus taciturne et malheureusement, la situation dans la famille s'y dégrade à cause de ça. Dosanko Yuki : Quarante-six ans. Belle femme originaire de Kyotô, elle possédait un dôjô avant de tomber amoureuse de Misao. Etant elle-aussi issue de l'aristocratie japonaise, les parents de Yuki ne voyèrent pas d'inconvénient à ce mariage si ce n'est que Yuki ne put pas reprendre le dôjô. C'est une femme infiniment douce, calme et tendre, mais qui a une main de fer dans un gant de velours, surtout quand il s'agit de sa famille. Redoutable kendoka, à quarante-six ans, elle fait encore trembler pas mal de combattants un peu trop arrogants. Dosanko Chisaii : Chisaii était parfaite. Sublime. Intelligente. Déterminée et insoumise. C'est justement ça qui l'a brisée. A son arrivée à Eitoku, elle était aimée de tous, sauf du D4, car elle ne supportait pas leurs agissements. Le Diamond4 ne s'est pas privé pour lui mettre un carton rouge, et sa vie est devenue un enfer. Elle devint la risée de l'école, on l'humilia, l'insulta, ses amis lui tournèrent le dos. Son fiancé la laissa tomber. Chisaii décida alors de tout plaquer et quitta le Japon, laissant sa famille derrière elle. Actuellement, deux détectives privés la recherchent activement. Dosanko Aozora : Aozora ... Il est la moitié d'Hanabi, son tout, son oxygène, son existence. Hanabi le vénère, l'adore, il voit en Aozora l'homme idéal et ferait n'importe quoi pour lui. Rassurez-vous, Hanabi n'est pas amoureux de son frère, mais il lui voue une telle admiration sans bornes que parfois, on se demande. Peurs, phobies : Hanabi craint l'eau des mares, l'enfermement prolongé et la lumière aveuglante. Il est plus à l'aise dans l'obscurité. Il est mal à l'aise à la pensée que l'on découvre qu'il chante en solitaire. Même son frère ne le sait pas. Sexualité : Bisexualité pas totalement assumée. .And You. Prénom/Surnom : Bee. Âge : Quinze ans. Où avez-vous connu ce forum ? Héhé. Suggestions, remarques ? L'admin est méchante. Et vicieuse. XD
Dernière édition par le Dim 17 Fév - 14:09, édité 1 fois | |
| | | Hanabi Dosanko .Truc Nouveau.
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| Sujet: Re: Hanabi Dosanko - Fleur Violente [UC] Dim 3 Fév - 17:34 | |
| JOURNAL D'UNE FLEUR Hanabi. C’est mon prénom. J’ai toujours trouvé ça bizarre de m’appeler Hanabi, mais il a fallu que je m’y fasse. De toutes façons, je suis habitué aux moqueries, que mon frère s’empressait de faire taire à coups de poings. Il me protège toujours contre les autres. Un peu trop, certainement. C’est pour ça que je suis timide. Ma mère m’a toujours poussé à exprimer ce que je ressentais, à dire ce que je voulais, mais j’ai du mal. Je suis né il y a dix-sept ans à Tokyo, en compagnie de mon frère jumeau Aozora. Nous sommes venus au monde l’un après l’autre ; mon frère étant l’aîné. Chisaii nous attendait avec impatience ! Nos parents nous ont souvent raconté comment Onee-chan avait préparé notre chambre, avec amour, malgré son tout jeune âge. Je n’ai jamais été séparé de mon frère. Je l’aime tant ! Il est tout pour moi. Il est mon meilleur ami. Il sait tout de moi et je sais tout de lui. Je peux lire en lui comme dans un livre ouvert. Mais revenons-en à ma famille. Nous faisons partie de l’aristocratie japonaise,mais nos parents ayant décidé de ne pas rester inactifs jusqu’à la fin de leur vie, ils travaillaient dans le domaine de la haute couture. Dès notre naissance, nous fûmes habillés, choyés avec soin. Nos parents nous adoraient.Et moi aussi, je les adorais.
Notre enfance fut heureuse. Aussi, comment ne pouvait-elle pas l’être, avec tout ce que nous avions ? C’était le rêve. Bien sûr, nos parents n’étaient pas souvent là, car leur travail leur demandait beaucoup d’effort, mais Chisaii et Yamato-san étaient là. Je préférais Chisaii à Yamato-san. Ma sœur et moi avions d’excellentes relations. Nous étions très proches. Je parle à l’imparfait, car ma sœur n’est plus là. Son départ m’a anéanti. Non, elle n’est pas morte, elle est … disparue. Elle a quitté la maison et son école - qui est désormais la mienne - . Tout ça parce qu’elle a reçu un carton rouge ! Ce satané D4, comme je le hais … Ils sont à l’origine de tout mes soucis. Je ne peux pas les supporter. Ils sont sans cesse sur notre dos, on dirait qu’ils veulent nous briser, moi et mon frère. Mais je ne ploierais pas. J’ai décidé de leur résister, aussi riches et puissants soient-ils.
Je n’ai pas l’air comme ça, mais je suis déterminé. Quand je prends une décision, je m’y tiens. C’est ce qui m’a permis de ne jamais baisser les bras. J’ai persévéré dans tout : l’apprentissage du piano, le chant, ma scolarité. J’ai envie de donner le meilleur de moi-même pour prouver que je ne suis pas l’intello timide que tout le monde croit. Aozora dit que j’ai le pouvoir de calmer n’importe qui. C’est peut-être vrai, j’aime aider et réconforter les autres. Donner de soi, ça ne coûte rien et c’est bénéfique pour tout le monde.
Hanabi poussa un soupir et ferma son journal, après avoir soigneusement fait séché l’encre. Il cacha son bien dans sa table de chevet et se leva. Le jeune homme décida d’aller prendre une douche : il était crevé, et l’eau lui ferait sûrement du bien. Son frère n’était pas là, il avait la salle de bain pour lui tout seul. Il y entra, se fit couler un bain et se déshabilla, restant quelques minutes planté dans le miroir. Hanabi n’avait pas conscience de sa beauté : il se trouvait banal, voire insignifiant. Il ne voyait pas sa bouche, si sexy, et ce petit grain de beauté juste au-dessus de la lèvre. Il ne voyait pas non plus son regard de biche, si doux. Il ne voyait pas ses épaules délicates, son cou de cygne, la douceur de sa peau, le mystère de ses gestes si gracieux. La seule chose qu’il aimait, c’était ses mains : fines, douces et puissantes à la fois. Les mains d’un musicien. UC | |
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